Stratégies de reproduction des poissons Thierry Lode (2012)
Nous connaissons quatre modes de reproduction sexuée chez les poissons.
Ovuliparité
Oviparité - oviparité (lat. ovule : œuf + parère : accoucher)
Ovoviviparité - ovoviviparité (lat. ovule : œuf + vivipare : vivipare)
Viviparité - viviparité (lat. viviparus - vivant)
1. Ovuliparité
La plupart des Cyprinodontiformes utilisent cette méthode de reproduction, la femelle libère des œufs dans l'environnement (Figure A)
(substrat, rochers, plantes, nids, fosses, etc., selon les espèces), où ils sont également fertilisés.
L'embryon se nourrit de sa propre source de nourriture (jaune d'œuf). À partir des œufs ou des œufs (Fig. B), une larve (Fig. C) se développe, qui se développe et se nourrit du jaune d'œuf pendant quelques jours de plus. Après quelques jours, le chiot est indépendant et commence à se nourrir.
2. Oviparité
Dans ce mode, la fécondation est interne, ce qui signifie que les spermatozoïdes entrent en contact avec les ovules à l'intérieur de la femelle, où ils sont fécondés.
Les mâles utilisent une série de nageoires dorsales transformées (organe intromittent) pour atteindre l'objectif.
Après ce processus, la femelle pond ses œufs dans l'environnement, cela peut se produire immédiatement ou après un certain temps.
Espèce très rare chez les poissons, Tomeurus gracilis fait partie des espèces qui se reproduisent de cette manière.
Ces deux cas se caractérisent par un grand nombre de jeunes, en particulier chez les espèces qui pondent librement dans l'environnement ou les espèces qui prennent soin de leur progéniture d'une manière ou d'une autre.
Il existe plusieurs groupes avec cette reproduction :
(UN) Les poissons frayant en couples ou en groupes sont pondus par les femelles et les mâles en même temps
les œufs et le sperme dans l'eau où se produit la fécondation, les œufs sont emportés par le courant ou simplement
couler au fond parmi les plantes ou les rochers. Il se caractérise par un grand nombre d'œufs,
l'inconvénient est que les jeunes passent par le stade larvaire et sont alors très
vulnérables (prédateurs), le taux de survie est très faible.
(B) Poisson qui pond des oeufs à plat
surfaces (pierres, feuilles de plantes et
similaire). Ils pondent par paires et
ils gardent généralement des œufs, puis
chiots en danger.
Cela comprend de nombreuses perches,
poisson-chat et truite arc-en-ciel.
(C) Poissons qui construisent des nids. Soit
une fosse dans le sable ou un nid flottant
à partir de bulles. Le mâle s'occupe du nid
et conserve les œufs. Cela inclut les labyrinthes
et quelques poissons-chats.
(RÉ) Carnivores, poissons reproducteurs et alevins
gardé dans le museau. Oeufs femelles généralement
placer sur une surface plane ou une fosse où
le mâle les féconde, après quoi la femelle pond
ramasse dans le museau. Le taux de survie est
très grosse suie quand les chiots partent
les mères sont assez grandes et indépendantes.
Les poissons connus de ce groupe sont des perches de
lacs africains.
(E) Les "poissons Killi" se reproduisent de manière intéressante, en période de sécheresse où la température augmente, les poissons pondent leurs œufs sur le fond boueux des plaines inondables avant qu'ils ne se dessèchent complètement, les poissons meurent et les œufs dans la boue attendent en toute sécurité pour que la prochaine pluie remplisse à nouveau les auges, car la naissance d'une nouvelle vie commence. Les œufs peuvent survivre de nombreuses années dans la boue.
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Les deux méthodes suivantes prennent soin de protéger les embryons pendant le développement à l'intérieur de la femelle. Cela inclut les naissances vivantes.
3. Ovoviviparité
Après le processus de fécondation interne, les œufs ne sont pas libérés et restent protégés des influences extérieures dans le corps de la femelle, où ils restent tout au long du processus de développement jusqu'à leur éclosion.
Les embryons sont nourris avec leur propre approvisionnement en nourriture dans l'œuf (jaune d'œuf), qui est leur seule source de nutrition, les embryons sont autorisés à respirer, excréter et osmoréguler. Chez les femelles, les parois des ovaires se dilatent considérablement au cours du développement embryonnaire et sont richement équipées de vaisseaux sanguins. Il s'agit notamment des naissances vivantes lécithotrophes (par régime alimentaire).
Poisson de la famille des Poeciliidae sont connus pour ce mode de reproduction.
4. Viviparité
Il existe deux types de viviparation :
(UN) Histotrophe (cela inclut la plupart des brochets à bec d'eau douce et des fouets d'eau douce), (dans l'utérus, les cellules épithéliales sécrètent une substance spéciale du lait qui sert de nourriture - histotrophe) Vidéo Dermogenys pusilla
(B) Hémotrophe (cela inclut la carpe mexicaine vivante, la famille se caractérise par la connexion de l'embryon avec la mère avec trophotenia (trophe - nutriments, taenia - lien), qui agit de la même manière que le placenta / placenta chez les mammifères)
Ici aussi, il y a fécondation interne, mais l'échange de métabolites est pris en charge, y compris la nutrition de l'embryon (comprend le transfert d'anticorps contre les maladies), l'apport d'oxygène, ...
Au cours du processus de développement des embryons, l'organisme féminin change considérablement, à partir d'une augmentation de la taille de l'utérus, des changements dans la circulation, les glandes endocrines (glandes endocrines-hormones), le tractus gastro-intestinal
(système gastro-intestinal), etc.
De ces deux manières, le nombre de petits est beaucoup plus petit. Cependant, les embryons sont plus sûrs et la probabilité de survie est élevée.
Les chiots sont indépendants et pleinement développés immédiatement après la naissance.
Dans le cas de la naissance vivante, on connaît une spécialité appelée superfétation, ici il y a plusieurs descendants simultanés à différents stades de développement.
Les femelles de cette espèce ont également la capacité de stocker du sperme dans les plis des ovaires jusqu'à sept mois.
Cela leur permet jusqu'à 8 ou 9 portées consécutives en l'absence de mâles.
Anableps
Nomorhamphus
