Mon aquarium biotope

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J'ai finalement eu une grande pièce et un sous-sol rien que pour moi, juhuuu.

Pendant les deux premières années, j'ai appris à connaître le monde de l'Amazonie et de la perche américaine grâce à de nouvelles connaissances, et j'ai réussi à élever des perches zébrées ( Cryptoheros nigrofasciatus ) et des scalaires ( Pterophyllum scalare ).

J'ai eu de la chance avec l'eau car de l'eau moyennement dure coulait du robinet (gH 9, kH 8, Ph 7.2,).

Un aquariophile de quelques années plus âgé était «coupable» d'avoir rencontré le «roi des poissons», le discus, en 1982. Bien sûr, je suis tombé amoureux de lui.

Il m'a fallu plusieurs mois pour étudier comment prendre soin de ce poisson. La campagne a commencé lentement et bientôt le premier aquarium de 450 litres était à la maison. Il n'y avait pas d'osmose à l'époque, mais j'ai trouvé une source immaculée d'eau parfaitement douce ... heureusement chez nous comme nous vivons dans le monde alpin, des carbonates partout.

J'ai réussi à préparer l'aquarium de manière optimale, après deux mois un troupeau de poissons-chats blindés y a nagé, il n'y avait toujours pas de discus, je les attendais d'Autriche voisine dans le magasin alors très célèbre de Klagenfurt.

Puis le choc, un message vient de Munich que je peux avoir deux «sauvages». OMG

Deux discus bruns adultes apportés directement du Brésil. Wow ... Symphysodon Aequifasciatus Axelrodi . Je n’en avais même pas rêvé auparavant. Bien sûr, j'accepte le défi avec peur et je prends le poisson. J'ai deux animaux énormes et forts avec des yeux injectés de sang et des nageoires abdominales ... fous.

Il était tout de suite clair pour moi que j'avais commis une erreur dans la position de l'aquarium (le pare-brise était en face de la porte), une erreur, les sauvages sont extrêmement timides et ont besoin d'un environnement calme sans mouvement rapide et brusque.